Ledalaï lama, chef spirituel des bouddhistes tibétains, a reçu le titre de"citoyen d'honneur" de Rome, dont le maire a apporté un soutienappuyé à la lutte non-violente du dignitaire religieux pour l'autonomie duTibet
Rencontreentre Ségolène Royal et le Dalaï Lama le 16 Août 2008 à l'Abbaye de Villeneuveprès de Nantes L'entretien en lui-mêmen'a pas pu être filmé, à la demande du Dalaï lama, mais un compte-rendu estdisponible sur le site de désirs d'avenirs.
Réincarnation d'un lama (vhs médiocre)
Vidéo envoyée par Introcrate
Noms de dieux avec DL
Noms de dieux * avec le Dalaï LAMA (1/6)
Noms de dieux * avec le Dalaï LAMA (2/6)
Noms de dieux * avec le Dalaï LAMA (3/6)
Noms de dieux *avec le Dalaï LAMA (4/6)
Noms de dieux * avec le Dalaï LAMA (5/6)
Noms de dieux * avec le Dalaï LAMA (6/6)
Manifestation contre le Dalai Lama àColgate University USA
Tibet 21 Avril 2008 !
LE REGIME THEOCRATIQUE EST INDEFENDABLE
MÉLENCHONDÉCHIRE LE DALAI LAMA & LE TIBET
Vidéo envoyée par CONTEMPTEUR
Jean-LucMélenchon, très iconoclaste, le 9 avril 2008 au micro d'Elkabach sur Europe 1,défend le régime chinois et fustige les tibétains et le Dalai Lama en tête. ---------------------------------------LE REGIME THEOCRATIQUEEST INDEFENDABLE A propos du Tibet. Le Tibet est chinoisdepuis le quatorzième siècle. Lhassa était sous autorité chinoise puismandchoue avant que Besançon ou Dôle soient sous l’autorité des rois de France.Parler « d’invasion » en 1959 pour qualifier un évènement à l’intérieur de larévolution chinoise est aberrant. Dit-on que la France a « envahi » la Vendéequand les armées de notre République y sont entrées contre les insurgésroyalistes du cru ? Le Dalaï Lama et les autres seigneurs tibétains ont acceptétout ce que la Chine communiste leur proposait et offrait, comme par exemple leposte de vice président de l’assemblée populaire que « sa sainteté » a occupésans rechigner. Cela jusqu’au jour de 1956 où le régime communiste a décidéd’abolir le servage au Tibet et régions limitrophes. Dans une négation destraditions, que j’approuve entièrement, les communistes ont abrogé les codesqui classaient la population en trois catégories et neuf classes dont le prixde la vie était précisé, codes qui donnaient aux propriétaires de serfs etd’esclaves le droit de vie, de mort etde tortures sur eux. On n’évoque pas lestatut des femmes sous ce régime là. Mais il est possible de se renseigner sil’on a le cœur bien accroché. L’autorité communiste a mis fin aux luttes violentesentre chefs locaux du prétendue paradis de la non violence ainsi qu’aux diverschâtiments sanglants que les moines infligeaient à ceux qui contrevenaient auxrègles religieuses dont ils étaient les gardiens. La version tibétaine de laCharria a pris fin avec les communistes.
Dalaï Lama - Conférence_1
DalaïLama - Conférence_1
Vidéoenvoyée par supervielle
Conférencedu Dalaï-Lama sur la paix (2003) sur la paix universelle (1/4).
Le sens politique des Tibétains
Le Vrai Dalai Lama
http://nom666.over-blog.com/article-33288642.html
Voilàune video intéressante sur le Dalaï-Lama qui montre ce qu'il est enréalité. Regardez comment il se conduit avec des moines qui ont décidéde ne plus le considérer comme leur leader. Lui qui parle tant de laFraternité et de la Compassion, il les a littéralement bannis et ils nepeuvent plus entrer dans aucun temple.
J'en profiterai pour dire que la doctrine bouddhiste thébaine n'estqu'une grosse imposture. Ainsi le Dalaî-Lama, nommé en réalité TenzinGyatso a été reconnu, grâce à une série de signes , comme la réincarnation de ses 13 prédécesseurs, le 22 février 1940. Il serait donc l'incarnation physique du bodhisattva de la compassion, soit le bouddha en devenir ! A mon sens, il lui en manque beaucoup beaucoup beaucoup pour devenir un bouddha. Et lorsqu'on lui pose la question de savoir s'il y croit vraiment, voilà ce qu'il répond :
« On me demande souvent si je crois réellement cela, disait-il en 1991.Il n'y a pas de réponse simple à cette question. Mais (...) considérantmon expérience dans cette vie et mes croyances bouddhistes, je n'aiaucune difficulté à accepter que j'ai un lien spirituel avec les treizeprécédents dalaï-lamas (...) et avec le Bouddha lui-même. »
Il faut être d'une grande naïveté pour croire cela. De quoi vit leDalaï-Lama ? Comme les gourous des offrandes et dons de ses adeptes.Plus les généreuses subventions venues d'ailleurs dont quelques unessont vraiment glauques comme vous pourrez le lire ci-dessous... mais leplus cocasse, si l'on puit dire, c'est la manière dont vivaient lesTibétains sous son règne. C'était un régime théocratique des plusarriérés. Aristocrates et religieux détenaient 95 % du territoire commel'Elite sacerdotale et le Pharaon en Egypte antique. Vous voyez tout sesuit. La majeure partie des ouailles -paysans- de ce cher autocratetibétain étaient réduits au servage, on pouvait même acheter à sonjuste prix un sujet de son choix et une sorte de charia tibétainedonnait le droit à l'autorité de mutiler pour punir. Voilà comment setraduisait la liberté du temps du gourou qui ne cesse de clamer quesous son règne, le Tibet était une société fondamentalement heureuse etpaisible ! On croit rêver. Et Delanoé l'a fait citoyen d'honneur de laville de Paris. Peut nettement mieux faire.
Le Vrai Dalaï-Lama
Qui est vraiment « Sa Sainteté le dalaï-lama » ?
Bouddhisme. Le dalaï-lama est effectue depuis le début de la semaineune visite de douze jours en France qui se dit à caractère religieux.Elle s'inscrit dans une campagne politique sur la crise tibétaine.
Chef spirituel et temporel du peupletibétain, le 14e dalaï-lama, réincarnation du 13e et remontant le fildu temps, incarnation physique du bodhisattva de la compassion,c'est-à-dire le bouddha en devenir, s'impose en référence médiatiqueinternationale incontournable. En ce début du XXIe siècle, n'est-on pastenté de saluer là un net progrès de l'intelligence humaine ?
Depuisqu'il parcourt le monde, l'hôte aujourd'hui de la France pour unedouzaine de jours a su mener sa barque. Mais son nom ne signifie-t-ilpas « océan de sagesse », vaste profondeur dans laquelle il puise etfaçonne des déferlantes d'ambiguïtés sous un visage de vieux gourousympathique et volontiers railleur.
Quand le dalaï-lama flirtait avec la CIA
Selon la doctrine bouddhiste tibétaine, chaque être se réincarne aprèssa mort. À l'âge de trois ans, Tenzin Gyatso est reconnu, grâce à unesérie de signes, comme la réincarnation de ses treize prédécesseurs. Le22 février 1940, il est intronisé dalaï-lama à Lhassa, la capitale duTibet.
Ila alors quatre ans. « On me demande souvent si je crois réellementcela, disait-il en 1991. Il n'y a pas de réponse simple à cettequestion. Mais (...) considérant mon expérience dans cette vie et mescroyances bouddhistes, je n'ai aucune difficulté à accepter que j'ai unlien spirituel avec les treize précédents dalaï-lamas (...) et avec leBouddha lui-même. » Voilà pour la filiation. Côté fréquentations, ellessont tout aussi complexes.
Il est vrai qu'enfant, le saint homme a reçu un nazi autrichien comme précepteur . L'un de ces alpinistes qui attaquaient l'Eiger pour, au retour, avoir le plaisir d'être décoré par Hitler. Le dalaï-lama n'a jamais renié ce maître, auteur de Sept Ans au Tibet, auquel il a rendu visite jusqu'à sa mort. Il eut par la suite d'autres liaisons dangereuses comme le gourou japonais de la secte Aum, Shoko Asahara ,qui, en 1995, s'illustra en empoisonnant par gaz les passagers d'unmétro de Tokyo, entraînant la mort de plusieurs dizaines de personneset la contamination de 5 500 autres. Selon une enquête du magazineallemand Stern, les deux hommes se seraient rencontrés à cinq reprises à partir de 1987. Le journaliste Christopher Hitchens, auteur de l'ouvrage His Material Highness, estime que le gourou aurait en outre contribué à hauteur de 1,2 million de dollars à la « cause tibétaine ».
Entre-temps, dans les années soixante, c'est avec la CIA que flirtait le dalaï-lama à raison d'une aide financière et de l'entraînement de groupes arméstibétains renvoyés sur le Toit du monde pour tenter le coup de maincontre l'armée chinoise. Les faits sont connus, révélés et confirméspar les agents américains eux-mêmes. Mais l'image médiatique du prix Nobel de la paix en 1989 est telle que personne n'ose vraiment s'en émouvoir !
« Vouloir comprendre la "question tibétaine" à partir des déclarations du dalaï-lama et de ses disciples serait comme vouloir reconstruire la Révolution française en se fiant aux "analyses" de la réaction des nobles réfugiés à l'étranger , et qui tendaient à placer tous leurs espoirs dans les baïonnettes des puissances contre-révolutionnaires », écrit un spécialiste de la région.
Interviewé par le Nouvel Observateur en juin dernier, le chef tibétain ne confiait-il pas que, avant 1959, le Tibet était « fondamentalement » « une société heureuse, une humanité heureuse, paisible en général ». En fait, un régime théocratique des plus arriérés .
Sous son règne, aristocrates et religieux possédaient 95 % du territoire . Les paysans étaient dans leur majorité réduits au servage . Et dans le registre des « lois », les codes 13 et 16 donnaient le moyen de calculer le juste prix du manant que le seigneur souhaitait vendre ou acheter. Une sorte de charia tibétaine donnait le droit à l'autorité de mutiler pour punir.
L'obligation politico-religieuse
Que revendique aujourd'hui celui qui se considère comme « leporte-parole libre du peuple tibétain » ? Officiellement, le dalaï-lamase présente comme un modéré, partisan de la ligne médiane. Face auxindépendantistes, il ne réclame « que l'autonomie du Tibet ». Mais surson étendue dite historique qui engloberait les provinces du Gansu, duQinhaï, une partie du Sichuan et du Yunnan, où vivent des petitesminorités tibétaines, soit près du tiers de la Chine . Quant au régime politique envisagé, il fleure bon un retour à la théocratie , bien que le principal intéressé s'en défende. Pourtant, la séparation entre sphère politique et sphère religieuse est bien absente .
La« Constitution » établie par le gouvernement en exil se conclut avecune « résolution spéciale », approuvée en 1991, dans laquelle onproclame l'obligation politico-religieuse de la « foi » et de l'«allégeance » à l'égard de « Sa Sainteté le dalaï-lama », appelé à «rester avec nous à jamais comme notre chef suprême spirituel ettemporel ».
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